Zones de combats, cibles de bombardements, théâtres de drames humains, foyers de résistance ou encore bases logistiques, les villes ont joué un rôle central au cours de la Seconde Guerre mondiale.
Marseille ne fait pas figure d’exception. Cette journée d’étude propose d’appréhender la période 39-45 « au ras du sol » et d’interroger la place de l’ordinaire dans la guerre. En abordant les bouleversements de l’économie urbaine, les enjeux alimentaires et sanitaires ainsi que les transformations des lieux de vie, les communications invitent à percer le quotidien d’une ville en conflit.
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